L’engouement pour le boom technologique qui prend forme à travers l'Afrique a récemment été renforcé davantage par une série de financements de startups sur le continent. Un sondage de 2015 a révélé que les startups technologiques africaines ont réussi à lever pas moins de 185 millions $ au cours de l’année. Un montant total comprenant des financements non divulgués serait probablement beaucoup plus élevé.
Cette année montre déjà des signes de maintien de cette tendance. Africa Internet Group, qui détient des participations dans un certain nombre d'entreprises technologiques, a par exemple récemment levé 83 millions $ auprès de l'assureur français AXA Group.
Par ailleurs, Netflix envisage d’offrir son service de streaming à travers toute l'Afrique, apparemment bien avant que la plupart des Africains n’aient accès à des connexions Internet rapides et fiables, chose que beaucoup considèrent comme une condition préalable à la vente de streaming vidéo. Cette effervescence, orchestrée notamment par des sociétés étrangères de financement et d’Internet, est très probablement le signe d'une croyance commune que les vitesses de connexion et les personnes connectées vont continuer à croître sur le continent.
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Cette année montre déjà des signes de maintien de cette tendance. Africa Internet Group, qui détient des participations dans un certain nombre d'entreprises technologiques, a par exemple récemment levé 83 millions $ auprès de l'assureur français AXA Group.
Par ailleurs, Netflix envisage d’offrir son service de streaming à travers toute l'Afrique, apparemment bien avant que la plupart des Africains n’aient accès à des connexions Internet rapides et fiables, chose que beaucoup considèrent comme une condition préalable à la vente de streaming vidéo. Cette effervescence, orchestrée notamment par des sociétés étrangères de financement et d’Internet, est très probablement le signe d'une croyance commune que les vitesses de connexion et les personnes connectées vont continuer à croître sur le continent.
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