Le rapport « e-Government Survey 2016 » des Nations Unies classe l’Ile Maurice premier en Afrique (suivi par la Tunisie) et 58e dans le monde entier, avec un Index de Développement du e-gouvernement de 0,6231. En 2014, l'île Maurice était classé 75e et la Tunisie 76e.
Publié au moment où les pays lancent la mise en œuvre de l'Agenda 2030 pour le Développement Durable, l'enquête donne un aperçu des tendances dans le développement de l'administration électronique dans les pays à travers le monde. Il fournit de nouvelles preuves que de plus en plus de gouvernements adoptent les technologies de l'information et de la communication pour fournir des services et pour engager les populations dans les processus de prise de décision dans toutes les régions du monde.
L'enquête montre que les technologies numériques - Internet, téléphones mobiles, et tous les autres outils utilisés pour collecter, stocker, analyser et partager des informations numériques - sont de plus en plus utilisées.
Le rapport nous apprend aussi que, depuis 2014, le nombre de pays avec un Indice de Service en Ligne (OSI) très élevé a augmenté de 22 à 32, tandis que le nombre de pays à faible OSI a chuté de 71 à 53.
Publié au moment où les pays lancent la mise en œuvre de l'Agenda 2030 pour le Développement Durable, l'enquête donne un aperçu des tendances dans le développement de l'administration électronique dans les pays à travers le monde. Il fournit de nouvelles preuves que de plus en plus de gouvernements adoptent les technologies de l'information et de la communication pour fournir des services et pour engager les populations dans les processus de prise de décision dans toutes les régions du monde.
L'enquête montre que les technologies numériques - Internet, téléphones mobiles, et tous les autres outils utilisés pour collecter, stocker, analyser et partager des informations numériques - sont de plus en plus utilisées.
Le rapport nous apprend aussi que, depuis 2014, le nombre de pays avec un Indice de Service en Ligne (OSI) très élevé a augmenté de 22 à 32, tandis que le nombre de pays à faible OSI a chuté de 71 à 53.