L'Agence nationale de recherche et de développement spatial du Nigeria (NASRDA) a présenté cinq projets qui pourraient aider à la conception et au développement de satellites indigènes.
Les projets, qui ont été étudiés et conçus par la filiale de l'agence, le Centre for Satellite Technology Development (CSTD), ont pris six mois pour être conçus. Les projets comprenaient un Tubesat, un véhicule terrestre sans pilote (UGV), un récepteur satellite basse fréquence, un système de détermination et de contrôle de l'attitude pour une application dans la filtration de signaux micro-satellites et en bande S pour une station au sol en orbite terrestre basse (LEO).
S'exprimant lors du dévoilement des projets à Abuja, le secrétaire permanent du ministère de la Science, de la Technologie et de l'Innovation, M. Sunday Edem Akpan, a déclaré que le pays passait d'une économie fondée sur les ressources à une économie fondée sur la connaissance.
Le directeur général de la NASRDA, le Dr Halilu Shaba, a quant à lui déclaré que les projets généreraient des retombées susceptibles d'avoir un impact sur les citoyens ordinaires, notant que la plupart des composants provenaient à 98% de sources locales.
Les projets, qui ont été étudiés et conçus par la filiale de l'agence, le Centre for Satellite Technology Development (CSTD), ont pris six mois pour être conçus. Les projets comprenaient un Tubesat, un véhicule terrestre sans pilote (UGV), un récepteur satellite basse fréquence, un système de détermination et de contrôle de l'attitude pour une application dans la filtration de signaux micro-satellites et en bande S pour une station au sol en orbite terrestre basse (LEO).
S'exprimant lors du dévoilement des projets à Abuja, le secrétaire permanent du ministère de la Science, de la Technologie et de l'Innovation, M. Sunday Edem Akpan, a déclaré que le pays passait d'une économie fondée sur les ressources à une économie fondée sur la connaissance.
Le directeur général de la NASRDA, le Dr Halilu Shaba, a quant à lui déclaré que les projets généreraient des retombées susceptibles d'avoir un impact sur les citoyens ordinaires, notant que la plupart des composants provenaient à 98% de sources locales.
