Un groupe de cinq étudiantes de l'Université de Makerere en Ouganda ont réussi à créer un kit de test connecté à une application smartphone qui est capable de détecter les bactéries vaginales nuisibles qui causent la vaginose bactérienne et d'autres infections.
Dans une vidéo postée sur YouTube, l'équipe connue sous le nom de « Team Code Gurus » explique exactement comment elles ont créé l'application. Le kit de test, baptisé « Her Health BVKit », se compose de matériel et d'une application.
Le matériel est le kit de test réel qui se connecte à l'application smartphone via Bluetooth. En plaçant un échantillon d'urine ou de sécrétions vaginales sur le kit, les valeurs de pH peuvent être envoyées à l'application. L'application interprète alors les données pour déterminer si l'utilisatrice a des quantités saines ou malsaines de bactéries vaginales. S’il y a des niveaux malsains de bactéries, l'application recommande à l’utilisatrice de chercher une assistance médicale et indique où se trouvent les médecins ou cliniques les plus proches.
Le programmeur de l'équipe, Ndagire Esther, explique que l'équipe aimerait travailler avec les ONG et d'autres établissements de santé pour fournir le kit aux femmes qui se trouvent en zones rurales.
Source
Dans une vidéo postée sur YouTube, l'équipe connue sous le nom de « Team Code Gurus » explique exactement comment elles ont créé l'application. Le kit de test, baptisé « Her Health BVKit », se compose de matériel et d'une application.
Le matériel est le kit de test réel qui se connecte à l'application smartphone via Bluetooth. En plaçant un échantillon d'urine ou de sécrétions vaginales sur le kit, les valeurs de pH peuvent être envoyées à l'application. L'application interprète alors les données pour déterminer si l'utilisatrice a des quantités saines ou malsaines de bactéries vaginales. S’il y a des niveaux malsains de bactéries, l'application recommande à l’utilisatrice de chercher une assistance médicale et indique où se trouvent les médecins ou cliniques les plus proches.
Le programmeur de l'équipe, Ndagire Esther, explique que l'équipe aimerait travailler avec les ONG et d'autres établissements de santé pour fournir le kit aux femmes qui se trouvent en zones rurales.
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