La firme française EntrepriseTélécom, représentée en RDC par Business Compagny Consulting, a signé avec le gouvernement congolais un contrat de lutte contre la fraude téléphonique. Cette collaboration a permis de mettre à jour qu’au moins 61 millions de dollars américains ne sont pas déclarés chaque mois par les compagnies de téléphonie cellulaire en RDC. Ce qui représente une perte mensuelle colossale de plus de 17,6 millions $ pour le trésor public.
Qui plus est, le manque à gagner décelé par la firme française ne concerne jusque-là que les appels et les SMS. L'Internet et le transfert électronique d'argent ne sont pas pris en compte dans cette fraude, qui implique trois sociétés, selon Business Compagny Consulting : Vodacom, Airtel et Africell.
Au Congo-Kinshasa le système fiscal est déclaratif, ce qui veut dire que chaque entreprise est tenue de déclarer elle-même le volume de ses transactions. Or, d’après Business Compagny Consulting, les volumes des minutes et des SMS souvent déclarées par ces entreprises de téléphonie cellulaire ne correspondent pas aux données réelles mais sont minorés.
D'après les révélations de Business Compagny Consulting, la fraude est beaucoup plus grande sur les appels domestiques, qui représentent 90% du trafic des opérateurs en télécommunications.
Qui plus est, le manque à gagner décelé par la firme française ne concerne jusque-là que les appels et les SMS. L'Internet et le transfert électronique d'argent ne sont pas pris en compte dans cette fraude, qui implique trois sociétés, selon Business Compagny Consulting : Vodacom, Airtel et Africell.
Au Congo-Kinshasa le système fiscal est déclaratif, ce qui veut dire que chaque entreprise est tenue de déclarer elle-même le volume de ses transactions. Or, d’après Business Compagny Consulting, les volumes des minutes et des SMS souvent déclarées par ces entreprises de téléphonie cellulaire ne correspondent pas aux données réelles mais sont minorés.
D'après les révélations de Business Compagny Consulting, la fraude est beaucoup plus grande sur les appels domestiques, qui représentent 90% du trafic des opérateurs en télécommunications.