Suite à une pression grandissante, le gouvernement ougandais a annoncé qu'il examinerait la controversée loi sur les médias sociaux et la taxe sur l'argent mobile.
La loi controversée a déclenché une protestation à Kampala. La semaine dernière, une marche de protestation vers le parlement (dirigé par le député Robert Kyagulanyi) s’est heurtée à la police. La loi est également contestée devant les tribunaux par une société de technologie Cyber Law Initiative dirigée par Daniel Bill Opio.
Dans sa forme actuelle, la loi exige que toutes les cartes SIM soient enregistrées pour les services d'argent mobile, et à partir de juillet 2018, l'accès aux médias sociaux est bloqué sauf si les utilisateurs paient la taxe journalière de Sh200 (0,05$ USD) et la taxe de 1% pour quiconque dépose, reçoit, paie et retire de l'argent en utilisant le mobile money.
Cyber Law Initiative estime que la taxe porte atteinte au droit des personnes à communiquer librement et que le gouvernement viole les principes de la neutralité du Net. À la suite des protestations du public, le Premier ministre Ruhakana Ruganda a confirmé au parlement que le président Yoweri Museveni avait appelé à de plus amples discussions sur la loi.
La loi controversée a déclenché une protestation à Kampala. La semaine dernière, une marche de protestation vers le parlement (dirigé par le député Robert Kyagulanyi) s’est heurtée à la police. La loi est également contestée devant les tribunaux par une société de technologie Cyber Law Initiative dirigée par Daniel Bill Opio.
Dans sa forme actuelle, la loi exige que toutes les cartes SIM soient enregistrées pour les services d'argent mobile, et à partir de juillet 2018, l'accès aux médias sociaux est bloqué sauf si les utilisateurs paient la taxe journalière de Sh200 (0,05$ USD) et la taxe de 1% pour quiconque dépose, reçoit, paie et retire de l'argent en utilisant le mobile money.
Cyber Law Initiative estime que la taxe porte atteinte au droit des personnes à communiquer librement et que le gouvernement viole les principes de la neutralité du Net. À la suite des protestations du public, le Premier ministre Ruhakana Ruganda a confirmé au parlement que le président Yoweri Museveni avait appelé à de plus amples discussions sur la loi.