Le gouvernement rwandais a lancé un nouveau Fonds pour l'Innovation en Recherche (FIR) de 30 millions $ lors d'un symposium national sur l'innovation, organisé à Kigali. Le Premier ministre du pays, Edouard Ngirente, a déclaré que cette ressource sera utilisée pour soutenir la recherche et l'innovation, et pour relier les innovateurs en herbe aux opportunités d'emploi.
Le fonds sera également utilisé pour promouvoir les industries scientifiques et technologiques, et continuera à soutenir des organisations telles que l'Université du Rwanda, le Conseil de l'agriculture du Rwanda (RAB) et l'Agence nationale de recherche et de développement industriels (NIRDA). M. Ngirente a ajouté : "À compter du prochain exercice financier, le gouvernement du Rwanda a attribué un capital d'amorçage au Fonds national de recherche et d'innovation et, année après année, nous nous engageons à augmenter notre allocation budgétaire à ce fonds d'innovation."
Le FIR a été créé grâce à un prêt de la Banque africaine de développement (BAD) en mars de cette année. L'institution financière a déclaré que la décision d'octroyer le prêt était influencée par ce qu’elle décrit comme "un manque de fonds de capital-risque dans le pays pour soutenir les jeunes entrepreneurs prometteurs".
Le fonds sera également utilisé pour promouvoir les industries scientifiques et technologiques, et continuera à soutenir des organisations telles que l'Université du Rwanda, le Conseil de l'agriculture du Rwanda (RAB) et l'Agence nationale de recherche et de développement industriels (NIRDA). M. Ngirente a ajouté : "À compter du prochain exercice financier, le gouvernement du Rwanda a attribué un capital d'amorçage au Fonds national de recherche et d'innovation et, année après année, nous nous engageons à augmenter notre allocation budgétaire à ce fonds d'innovation."
Le FIR a été créé grâce à un prêt de la Banque africaine de développement (BAD) en mars de cette année. L'institution financière a déclaré que la décision d'octroyer le prêt était influencée par ce qu’elle décrit comme "un manque de fonds de capital-risque dans le pays pour soutenir les jeunes entrepreneurs prometteurs".