L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP), du Bénin, a introduit un nouvel ensemble de règles tarifaires visant à réduire le coût des communications vocales, de données et SMS.
Les interventions du régulateur se concentrent sur la segmentation des offres télécoms et la définition de la période de validité des services. En vertu de la nouvelle règle, les packages inférieurs à 1 000 Fcfa ont maintenant une période de validité allant de 1 à 7 jours. Les forfaits entre 1000 Fcfa et plus de 15 000 Fcfa doivent être valables entre 7 et 30 jours. Pour les services vocaux, l'ARCEP a demandé aux opérateurs de respecter le principe de tarification à la seconde.
L'ARCEP a également introduit des limites de prix pour les SMS et les données. Selon le régulateur, le coût des SMS doit être compris entre 2 et 5 Fcfa, tandis que la facturation des données doit se faire par Mo. Le coût doit diminuer à mesure que le forfait acheté par le client augmente, comme c'est le cas au Nigeria voisin. Le forfait à 500 Fcfa sera par exemple facturé entre 1,2 et 3,1 Fcfa par Mo.
Les interventions du régulateur se concentrent sur la segmentation des offres télécoms et la définition de la période de validité des services. En vertu de la nouvelle règle, les packages inférieurs à 1 000 Fcfa ont maintenant une période de validité allant de 1 à 7 jours. Les forfaits entre 1000 Fcfa et plus de 15 000 Fcfa doivent être valables entre 7 et 30 jours. Pour les services vocaux, l'ARCEP a demandé aux opérateurs de respecter le principe de tarification à la seconde.
L'ARCEP a également introduit des limites de prix pour les SMS et les données. Selon le régulateur, le coût des SMS doit être compris entre 2 et 5 Fcfa, tandis que la facturation des données doit se faire par Mo. Le coût doit diminuer à mesure que le forfait acheté par le client augmente, comme c'est le cas au Nigeria voisin. Le forfait à 500 Fcfa sera par exemple facturé entre 1,2 et 3,1 Fcfa par Mo.