Les blogueurs et autres utilisateurs de plateformes en ligne en Tanzanie ont deux semaines pour s'enregistrer auprès du gouvernement ou faire face à des amendes et à des peines de prison. Les groupes de défense des droits de leur côté expriment des préoccupations au sujet de cette mesure, qui découle d'une nouvelle loi régissant le contenu en ligne.
La nouvelle loi en Tanzanie cible les plateformes en ligne telles que les blogs, les podcasts et autres flux de contenu en direct, par exemple via les chaînes YouTube.
Le gouvernement dit qu'il surveillera ces plates-formes pour les discours de haine, le contenu obscène et les menaces à la sécurité nationale et à l'ordre public. Mais les blogueurs locaux craignent que la surveillance soit utilisée pour étouffer la dissidence.
Vendredi, l'autorité de régulation des communications en Tanzanie a déclaré que les propriétaires de plates-formes en ligne doivent payer environ 900 $ (environ 3,3 millions Shs) pour obtenir une licence. L'agence d'Etat a également déclaré qu'elle utiliserait des suspensions pour forcer la suppression de contenu qu'elle juge en violation de la loi. Ceux qui ne se conforment pas à la nouvelle réglementation pourraient faire face à des amendes et jusqu'à un an d'emprisonnement.
La nouvelle loi en Tanzanie cible les plateformes en ligne telles que les blogs, les podcasts et autres flux de contenu en direct, par exemple via les chaînes YouTube.
Le gouvernement dit qu'il surveillera ces plates-formes pour les discours de haine, le contenu obscène et les menaces à la sécurité nationale et à l'ordre public. Mais les blogueurs locaux craignent que la surveillance soit utilisée pour étouffer la dissidence.
Vendredi, l'autorité de régulation des communications en Tanzanie a déclaré que les propriétaires de plates-formes en ligne doivent payer environ 900 $ (environ 3,3 millions Shs) pour obtenir une licence. L'agence d'Etat a également déclaré qu'elle utiliserait des suspensions pour forcer la suppression de contenu qu'elle juge en violation de la loi. Ceux qui ne se conforment pas à la nouvelle réglementation pourraient faire face à des amendes et jusqu'à un an d'emprisonnement.