Avec Uber, Taxi Chap Chap (lancé plus récemment) ainsi que Little Cab de Craft Silicon/Safaricom dans la course aux passagers connectés mobiles au Kenya, y a t-il encore de la place pour un autre acteur ? Oui, affirme l’équipe dirigeante derrière la firme de technologie de transport et à l’origine de l'application de taxi à la demande, Taxify, lancée en Afrique l'année dernière.
Taxify a été créée en 2013 en Estonie et opère actuellement dans 18 pays, dont quatre en Afrique : au Ghana, au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud. L’application a mobilisé un investissement de 1,5 million de dollars pour développer ses activités et vise à faire face à la concurrence sur les marchés cibles, dont le Kenya.
La stratégie de Taxify est axée sur la relation de l'entreprise avec ses conducteurs, explique Alex Mwaura, directeur municipal, Taxify Nairobi.
« Nos conducteurs/partenaires ont toujours bénéficié d'une meilleure rémunération par trajet avec 15% de commission retenue par Taxify par rapport au meilleur concurrent qui facture une commission de 25% au Kenya. Nous valorisons énormément nos conducteurs et les traitons biens. Et eux, en retour, traitent bien nos clients », affirme Mwaura.
Taxify a été créée en 2013 en Estonie et opère actuellement dans 18 pays, dont quatre en Afrique : au Ghana, au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud. L’application a mobilisé un investissement de 1,5 million de dollars pour développer ses activités et vise à faire face à la concurrence sur les marchés cibles, dont le Kenya.
La stratégie de Taxify est axée sur la relation de l'entreprise avec ses conducteurs, explique Alex Mwaura, directeur municipal, Taxify Nairobi.
« Nos conducteurs/partenaires ont toujours bénéficié d'une meilleure rémunération par trajet avec 15% de commission retenue par Taxify par rapport au meilleur concurrent qui facture une commission de 25% au Kenya. Nous valorisons énormément nos conducteurs et les traitons biens. Et eux, en retour, traitent bien nos clients », affirme Mwaura.