Poursuivi devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l'humanité, le président du Kenya continue de clamer son innocence. A travers une requête déposée à la Haute cour par ses avocats, il a demandé à la justice de son pays d'ordonner à Airtel et Safaricom, deux sociétés de téléphonie mobile, de relever les appels et sms à destination ou en provenance de certains témoins potentiels de l'accusation.
Uhuru Kenyatta demande également le relevé de tous les transferts d'argent à destination de ces témoins, à partir de 2008.
Uhuru Kenyatta demande également le relevé de tous les transferts d'argent à destination de ces témoins, à partir de 2008.