Safaricom entend bien conquérir le secteur de la grande distribution au Kenya. La compagnie veut en effet imposer sa solution de paiement électronique, Lipa na M-Pesa, dans les principaux centres commerciaux du pays.
En lançant cette offensive, Safaricom vise à réduire sa dépendance au mobile money classique, dont les marges bénéficiaires sont faibles malgré le grand volume des opérations. La société a d’abord signé un accord avec les compagnies Naivas et Uchimi, respectivement quatrième et troisième sur le marché de la distribution au Kenya. Et actuellement, elle est en phase d’expérimentation avec l’enseigne Tuskys tandis que les négociations se poursuivent avec Nakumatt.
La compagnie de télécommunication risque cependant de faire face à une farouche concurrence des banques, qui elles aussi veulent imposer leurs cartes de crédits dans ce secteur de la grande distribution.
Safaricom a cependant l’avantage du prix, puisqu’il ne facture que 1% du montant des opérations aux distributeurs contre environ 3% pour les banques.
En lançant cette offensive, Safaricom vise à réduire sa dépendance au mobile money classique, dont les marges bénéficiaires sont faibles malgré le grand volume des opérations. La société a d’abord signé un accord avec les compagnies Naivas et Uchimi, respectivement quatrième et troisième sur le marché de la distribution au Kenya. Et actuellement, elle est en phase d’expérimentation avec l’enseigne Tuskys tandis que les négociations se poursuivent avec Nakumatt.
La compagnie de télécommunication risque cependant de faire face à une farouche concurrence des banques, qui elles aussi veulent imposer leurs cartes de crédits dans ce secteur de la grande distribution.
Safaricom a cependant l’avantage du prix, puisqu’il ne facture que 1% du montant des opérations aux distributeurs contre environ 3% pour les banques.
