Les artistes africains ont une nouvelle plateforme en ligne pour mettre en valeur leur talent. La startup de divertissement numérique basée au Nigeria, Iroko, vient en effet de lancer IrokoX, un réseau multi-plateforme panafricain pour les cinéastes, les musiciens et autres aspirants créatifs pour produire, distribuer et monétiser leurs créations.
Le nouveau support fournira aux artistes sélectionnés une aide à la production, des ressources en studio, et la possibilité de montrer leur travail sur les réseaux de partenaires mondiaux tels que Youtube, iTunes et Google Play. IrokoX fournit également à l’ensemble des créateurs de l'Afrique une plate-forme numérique pour monétiser leurs vidéos courtes de 3-5 minutes.
"Il fonctionnera sur un modèle de partage de chiffre d'affaires avec une répartition de 80/20 pour la majorité des utilisateurs - les artistes obtiendront 80%", a déclaré le directeur général d’IrokoX, Oluchi Enuha. "Nous voulons créer quelque chose qui ressemble à Maker Studios, où les créateurs professionnels et semi-professionnels de l'Afrique peuvent produire des contenus numériques de qualité, les commercialiser, les partager avec un plus large public, et être payés", a t-il dit, se référant au réseau multicanaux américain racheté par Disney pour 500 millions $ en 2014.
Le nouveau support fournira aux artistes sélectionnés une aide à la production, des ressources en studio, et la possibilité de montrer leur travail sur les réseaux de partenaires mondiaux tels que Youtube, iTunes et Google Play. IrokoX fournit également à l’ensemble des créateurs de l'Afrique une plate-forme numérique pour monétiser leurs vidéos courtes de 3-5 minutes.
"Il fonctionnera sur un modèle de partage de chiffre d'affaires avec une répartition de 80/20 pour la majorité des utilisateurs - les artistes obtiendront 80%", a déclaré le directeur général d’IrokoX, Oluchi Enuha. "Nous voulons créer quelque chose qui ressemble à Maker Studios, où les créateurs professionnels et semi-professionnels de l'Afrique peuvent produire des contenus numériques de qualité, les commercialiser, les partager avec un plus large public, et être payés", a t-il dit, se référant au réseau multicanaux américain racheté par Disney pour 500 millions $ en 2014.
