Orange a signé un accord pour vendre sa participation de 70% dans Telkom Kenya, marquant la sortie de la firme française du marché kenyan.
L'accord a été signé avec Helios Investment Partners, une firme privée de capital-investissement basée en Afrique du Sud. La finalisation de l'accord de cession dépend maintenant de l'approbation des autorités compétentes, a affirmé Orange dans un communiqué ce mardi.
Avant cette signature, Orange avait entrepris une expansion massive de ses infrastructures pour mettre en place des services 3G dans plusieurs parties du pays. Cette expansion pourrait avoir exposé l'entreprise à un endettement massif couplé avec l'échec d'innover sur les offres.
Faith Mwangi, une analyste de recherche de la Standard Investment Bank, a déclaré qu’Orange a été confronté à des difficultés financières au cours de ces dernières années. Elle a souligné que cela s’est fait en dépit de son monopole dans la téléphonie fixe et de ses coûts d’appels attrayants.
Orange et Airtel avaient par ailleurs accusé Safaricom de concurrence déloyale et de domination dans le secteur, mais le CAK a rejeté leurs accusions.
L'accord a été signé avec Helios Investment Partners, une firme privée de capital-investissement basée en Afrique du Sud. La finalisation de l'accord de cession dépend maintenant de l'approbation des autorités compétentes, a affirmé Orange dans un communiqué ce mardi.
Avant cette signature, Orange avait entrepris une expansion massive de ses infrastructures pour mettre en place des services 3G dans plusieurs parties du pays. Cette expansion pourrait avoir exposé l'entreprise à un endettement massif couplé avec l'échec d'innover sur les offres.
Faith Mwangi, une analyste de recherche de la Standard Investment Bank, a déclaré qu’Orange a été confronté à des difficultés financières au cours de ces dernières années. Elle a souligné que cela s’est fait en dépit de son monopole dans la téléphonie fixe et de ses coûts d’appels attrayants.
Orange et Airtel avaient par ailleurs accusé Safaricom de concurrence déloyale et de domination dans le secteur, mais le CAK a rejeté leurs accusions.