Les enseignants du secondaire avaient formellement refusé de signer le document rédigé par le ministère de l'Éducation en ce qui concerne la sécurité des tablettes tactiles, jugeant les règles inadaptées. Et ils ont finalement eu gain de cause car le ministère a revu sa copie.
Les enseignants ne seront donc pas tenus responsables en cas de perte ou vol de la tablette, ou de blessures occasionnées par l'outil.
«Nous avons contesté cette deuxième clause car il se peut qu'une tablette surchauffe lorsqu'elle est branchée. Cela peut provoquer des incidents, et ce ne sera pas de notre faute», déclare le président de l'Education Officers Union, Ally Yearoo. Les enseignants n'auront pas non plus à vérifier les mails envoyés par les élèves.
Pour ce qui est de l'utilisation des tablettes, le ministère compte proposer des «guidelines» aux enseignants, en lieu et place du «pledge».
Les enseignants ne seront donc pas tenus responsables en cas de perte ou vol de la tablette, ou de blessures occasionnées par l'outil.
«Nous avons contesté cette deuxième clause car il se peut qu'une tablette surchauffe lorsqu'elle est branchée. Cela peut provoquer des incidents, et ce ne sera pas de notre faute», déclare le président de l'Education Officers Union, Ally Yearoo. Les enseignants n'auront pas non plus à vérifier les mails envoyés par les élèves.
Pour ce qui est de l'utilisation des tablettes, le ministère compte proposer des «guidelines» aux enseignants, en lieu et place du «pledge».