Le départ volontaire à la retraite de 2500 salariés de Tunisie Télécom est décrit par le ministère des Technologies de l'information et de la communication comme s’inscrivant dans le cadre d'un plan de restructuration de l'entreprise. Un avis que ne partage pas du tout la Fédération générale du secteur de la poste et des communications, qui elle estime qu'il s'agit d'un projet visant le licenciement de quatre mille salariés.
Le secrétaire général de la Fédération générale du secteur de la poste et des communications, Mongi Ben Mbarek, a affirmé, à la TAP, que les départs volontaires à la retraite chez Tunisie Télécom étaient en réalité un plan de « licenciement abusif de 50% de l'effectif de Tunisie Télécom qui emploie 8.200 salariés ». Ladite fédération a multiplié les réunions dans ce sens afin d’organiser une manifestation dans deux semaines devant l'Assemblée nationale constituante. Le but de cette manifestation étant de protester contre le projet de loi et demander l'ouverture d'une enquête concernant « la vingtaine de dossiers de corruption que le conseil d'administration de Tunisie Télécom n'a pas remis à la justice ».
Le secrétaire général de la Fédération générale du secteur de la poste et des communications, Mongi Ben Mbarek, a affirmé, à la TAP, que les départs volontaires à la retraite chez Tunisie Télécom étaient en réalité un plan de « licenciement abusif de 50% de l'effectif de Tunisie Télécom qui emploie 8.200 salariés ». Ladite fédération a multiplié les réunions dans ce sens afin d’organiser une manifestation dans deux semaines devant l'Assemblée nationale constituante. Le but de cette manifestation étant de protester contre le projet de loi et demander l'ouverture d'une enquête concernant « la vingtaine de dossiers de corruption que le conseil d'administration de Tunisie Télécom n'a pas remis à la justice ».