Présent dans 20 pays sur le continent, l’opérateur historique français voit dans l’Afrique un relais de croissance de choix. Le prochain défi de l’entreprise est de séduire la classe moyenne et ses villages pour s’imposer.
Orange a décidé de faire de l'Afrique l’une de ses principales priorités à l'international. Pas étonnant puisque le continent représente 40% de ses clients (avec notamment 115 millions de cartes SIM) et 11% de ses 40 milliards de chiffre d'affaires en 2014. L'opérateur historique est donc en pleine offensive sur ce continent, et pour se démarquer de ses concurrents, Orange entend surtout séduire les classes moyennes et devenir « le champion de la ruralité et des villages », indique Marc Rennard, le directeur exécutif de la zone Afrique, Moyen-Orient et Asie du groupe.
Pour atteindre son objectif, le groupe investit aujourd'hui environ un milliard d'euros par an sur le continent africain. Au nombre de ses initiatives récentes, Orange a lancé un smartphone low cost en début d'année, baptisé « Klif ». L’appareil est commercialisé « à moins de 40 dollars, avec de la data et une SIM incluse », souligne Marc Rennard.
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Orange a décidé de faire de l'Afrique l’une de ses principales priorités à l'international. Pas étonnant puisque le continent représente 40% de ses clients (avec notamment 115 millions de cartes SIM) et 11% de ses 40 milliards de chiffre d'affaires en 2014. L'opérateur historique est donc en pleine offensive sur ce continent, et pour se démarquer de ses concurrents, Orange entend surtout séduire les classes moyennes et devenir « le champion de la ruralité et des villages », indique Marc Rennard, le directeur exécutif de la zone Afrique, Moyen-Orient et Asie du groupe.
Pour atteindre son objectif, le groupe investit aujourd'hui environ un milliard d'euros par an sur le continent africain. Au nombre de ses initiatives récentes, Orange a lancé un smartphone low cost en début d'année, baptisé « Klif ». L’appareil est commercialisé « à moins de 40 dollars, avec de la data et une SIM incluse », souligne Marc Rennard.
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