Une étude de l'Office National des Statistiques a établi que 86% de la population du Malawi n'a pas accès à Internet. Le directeur exécutif de la jeunesse et de la société, Charles Kajoloweka, a depuis décrit la situation comme une exclusion violente ; l'attribuant au monopole dans l'industrie des télécommunications, entre autres.
Kajoloweka s'exprimait à Lilongwe où la commission parlementaire sur les médias et la communication et d'autres parties prenantes, dont Oxfam et les organisations de la société civile, mettaient en lumière les obstacles à l'accès à l'information et à la liberté d'expression.
Kajoloweka a déclaré que l'évaluation recommande la suppression des taxes prohibitives sur certains services Internet, la ratification de la Convention de l'Union africaine sur la cybersécurité et la protection et la fourniture d'un soutien financier suffisant à la Commission des droits de l'homme du Malawi pour faciliter l'actualisation de la loi sur l'accès à l'information.
Il a fait valoir que l'allocation actuelle de 8 millions de K ne permet pas de traiter les problématiques cruciales.
Kajoloweka s'exprimait à Lilongwe où la commission parlementaire sur les médias et la communication et d'autres parties prenantes, dont Oxfam et les organisations de la société civile, mettaient en lumière les obstacles à l'accès à l'information et à la liberté d'expression.
Kajoloweka a déclaré que l'évaluation recommande la suppression des taxes prohibitives sur certains services Internet, la ratification de la Convention de l'Union africaine sur la cybersécurité et la protection et la fourniture d'un soutien financier suffisant à la Commission des droits de l'homme du Malawi pour faciliter l'actualisation de la loi sur l'accès à l'information.
Il a fait valoir que l'allocation actuelle de 8 millions de K ne permet pas de traiter les problématiques cruciales.