Le ministre zimbabwéen des Finances, Mthuli Ncube, a déclaré que les agences de transfert d’argent mobile ne payaient pas l’impôt et que cela faisait perdre de l’argent aux caisses de l’état. Lors de son examen budgétaire à mi-parcours de 2019 présenté jeudi dernier, M. Ncube a déclaré que la plupart des transactions illégales étaient effectuées par ce moyen afin d'éviter le paiement de l'impôt.
En octobre 2018, le gouvernement a introduit la taxe sur les transferts monétaires intermédiaires (IMTT), également connue sous le nom de « 2c tax ». Cette taxe est fixée à 2 centimes par dollar transféré, dans le cadre des mesures visant à élargir la base de revenus du pays. La taxe en question a remplacé une taxe précédente qui était fixée à 5 centimes par transaction.
M. Ncube a ajouté que, bien que la législation en vigueur oblige les institutions financières à déduire la taxe intermédiaire des transferts monétaires de toutes sortes, excepté par chèque, les transferts d'argent mobile échappaient à cette tranche d'imposition.
En octobre 2018, le gouvernement a introduit la taxe sur les transferts monétaires intermédiaires (IMTT), également connue sous le nom de « 2c tax ». Cette taxe est fixée à 2 centimes par dollar transféré, dans le cadre des mesures visant à élargir la base de revenus du pays. La taxe en question a remplacé une taxe précédente qui était fixée à 5 centimes par transaction.
M. Ncube a ajouté que, bien que la législation en vigueur oblige les institutions financières à déduire la taxe intermédiaire des transferts monétaires de toutes sortes, excepté par chèque, les transferts d'argent mobile échappaient à cette tranche d'imposition.