En Algérie les principaux médias (télés, radios, journaux) qui sont sensés porter la voix du peuple sont contrôlés par le pouvoir, de sorte à cantonner le débat public aux lieux populaires comme les cafés. Dans ce pays où la démocratie n’est qu’une illusion de plus, le pouvoir n’hésite pas à recourir à la censure pour étouffer toute information qui le compromet.
Dans cette Algérie où la liberté d’expression et de la presse est régulièrement remise en cause, l’Internet est un perchoir relativement libre, offert aux «oubliés» de l’Unique (ENTV) et de ses autres pendants de propagandes d’Etat.
Dans cette Algérie où la liberté d’expression et de la presse est régulièrement remise en cause, l’Internet est un perchoir relativement libre, offert aux «oubliés» de l’Unique (ENTV) et de ses autres pendants de propagandes d’Etat.