Le gouvernement éthiopien a promulgué une nouvelle loi, la Hate Speech and Disinformation Proclamation, qui interdit les messages publiés en ligne "qui pourraient être à l'origine de violences ou de troubles à l'ordre public". Mais les critiques ont qualifié la législation de sévère et pensent qu'elle pourrait porter atteinte à la liberté d'expression et aux droits numériques.
Le groupe de défense des droits en ligne Paradigm Initiative a publié une déclaration stipulant que : "L'histoire de l'Éthiopie a toujours vu le gouvernement garder le contrôle sur les citoyens à travers des lois oppressives et la censure sur Internet. Les vagues de protestations ont augmenté depuis 2015, avec la violence et les violations des droits de l'homme qui se sont répandues à ces moments-là, notamment le meurtre de manifestants et la fermeture régulière d'Internet."
Paradigm Initiative a déclaré que le gouvernement éthiopien devrait reconsidérer la législation et a fait valoir que le discours de haine ne peut être combattu en réglementant la liberté d'expression et que davantage de violations des droits sont à craindre dans le pays.
Le groupe de défense des droits en ligne Paradigm Initiative a publié une déclaration stipulant que : "L'histoire de l'Éthiopie a toujours vu le gouvernement garder le contrôle sur les citoyens à travers des lois oppressives et la censure sur Internet. Les vagues de protestations ont augmenté depuis 2015, avec la violence et les violations des droits de l'homme qui se sont répandues à ces moments-là, notamment le meurtre de manifestants et la fermeture régulière d'Internet."
Paradigm Initiative a déclaré que le gouvernement éthiopien devrait reconsidérer la législation et a fait valoir que le discours de haine ne peut être combattu en réglementant la liberté d'expression et que davantage de violations des droits sont à craindre dans le pays.