Les autorités kenyanes ont appelé Facebook à faire davantage pour débarrasser sa plateforme des discours de haine avant les élections générales du 9 août. Le groupe de défense des droits Global Witness a déclaré que la société de médias sociaux avait approuvé des discours de haine faisant la promotion de la violence ethnique.
Dans un communiqué, Facebook a admis avoir manqué certains messages de haine en raison d'erreurs commises par les personnes et les machines sur lesquelles la plateforme s'appuie. Facebook a également déclaré avoir des locuteurs Swahili et une technologie pour aider à supprimer les contenus préjudiciables. La firme dit aussi avoir investi dans les personnes et la technologie pour aider à garantir des élections sûres et sécurisées au Kenya.
Toutefois, le porte-parole de Global Witness a déclaré qu'il semble que Facebook ne soit pas capable de traiter les problèmes de discours de haine qui menacent la stabilité politique du Kenya.
Dans un communiqué, Facebook a admis avoir manqué certains messages de haine en raison d'erreurs commises par les personnes et les machines sur lesquelles la plateforme s'appuie. Facebook a également déclaré avoir des locuteurs Swahili et une technologie pour aider à supprimer les contenus préjudiciables. La firme dit aussi avoir investi dans les personnes et la technologie pour aider à garantir des élections sûres et sécurisées au Kenya.
Toutefois, le porte-parole de Global Witness a déclaré qu'il semble que Facebook ne soit pas capable de traiter les problèmes de discours de haine qui menacent la stabilité politique du Kenya.