A l’instar de Bill Gates, fondateur de Microsoft, ou encore de Mark Zuckerberg, le patron de Facebook, certains africains très fortunés font également don d'une partie de leur fortune… et bouleversent le secteur de la charité traditionnelle. Intéressons-nous à l’un d’entre eux cette semaine : M. Cyril Ramaphosa.
«Riche ou pauvre… tout le monde donne en Afrique. Le fait d’aider son village, sa famille, sa communauté est profondément enraciné dans la culture et les croyances populaires », notait Halima Mahomed, conseillère en philanthropie à Johannesburg. Cette tendance n’épargne pas les milliardaires du continent, comme Cyril Ramaphosa.
Actuel vice-président de l’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa est un ancien syndicaliste qui a joué un rôle important lors de la sortie de l’apartheid. Il est à la tête d’un important fonds d’investissement, et sa fortune est estimée à 450 millions de dollars (environ 425 millions d’euros). Depuis 2004, il apporte, grâce à la Fondation Shanduka, un soutien de 12 millions d’euros aux entrepreneurs de son pays et a lancé la fondation Adopt-a-School (« adopte une école »), qui a déjà construit 454 établissements.
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«Riche ou pauvre… tout le monde donne en Afrique. Le fait d’aider son village, sa famille, sa communauté est profondément enraciné dans la culture et les croyances populaires », notait Halima Mahomed, conseillère en philanthropie à Johannesburg. Cette tendance n’épargne pas les milliardaires du continent, comme Cyril Ramaphosa.
Actuel vice-président de l’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa est un ancien syndicaliste qui a joué un rôle important lors de la sortie de l’apartheid. Il est à la tête d’un important fonds d’investissement, et sa fortune est estimée à 450 millions de dollars (environ 425 millions d’euros). Depuis 2004, il apporte, grâce à la Fondation Shanduka, un soutien de 12 millions d’euros aux entrepreneurs de son pays et a lancé la fondation Adopt-a-School (« adopte une école »), qui a déjà construit 454 établissements.
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