Orange vient d’avoir l’aval des autorités pour le rachat de l’opérateur Tigo en RDC. Le groupe français contrôle désormais 30 % des parts du marché, avec un parc d'environ dix millions d'abonnés contre deux millions après le rachat de CCT en 2012 et plus de 5 millions en 2015, soit la plus forte croissance en Afrique.
L’opérateur historique français a annoncé officiellement l'approbation par les autorités compétentes d'une opération de rachat qui a débuté en février 2016. Il aura fallut trois mois de discussion pour valider l’opération. Le groupe Orange a tenu à rassurer les abonnés de Tigo sur le fait que cette fusion est un processus qui prendra le temps nécessaire pour arriver à une intégration des services et des hommes. Il n'est donc pas question d'aborder le volet des licenciements possibles pour l'heure.
Selon le directeur général d’Orange, Jean-Michel Garrouteigt, le choix de Tigo n'est pas le fait du hasard. "Outre sa position de leader commercial à Kinshasa et au Bas-Congo, Tigo est leader dans le paiement mobile et a une forte pénétration dans le segment jeune", a-t-il dit.
Il a par la même occasion rappelé la formidable croissance du marché mobile en RDC, qui est désormais le deuxième en Afrique centrale et de l'Ouest après le Nigéria, avec plus de 40 millions d'abonnés.
L’opérateur historique français a annoncé officiellement l'approbation par les autorités compétentes d'une opération de rachat qui a débuté en février 2016. Il aura fallut trois mois de discussion pour valider l’opération. Le groupe Orange a tenu à rassurer les abonnés de Tigo sur le fait que cette fusion est un processus qui prendra le temps nécessaire pour arriver à une intégration des services et des hommes. Il n'est donc pas question d'aborder le volet des licenciements possibles pour l'heure.
Selon le directeur général d’Orange, Jean-Michel Garrouteigt, le choix de Tigo n'est pas le fait du hasard. "Outre sa position de leader commercial à Kinshasa et au Bas-Congo, Tigo est leader dans le paiement mobile et a une forte pénétration dans le segment jeune", a-t-il dit.
Il a par la même occasion rappelé la formidable croissance du marché mobile en RDC, qui est désormais le deuxième en Afrique centrale et de l'Ouest après le Nigéria, avec plus de 40 millions d'abonnés.