Les operateurs de téléphonie mobile au Congo ont décidé par consensus de revoir à la hausse les tarifs des appels téléphoniques. Les utilisateurs de téléphonie mobile devront donc dépenser un peu plus pour effectuer des appels ou profiter d’autres services télécoms tels que le short message send (SMS).
Pour répondre aux utilisateurs des services de télécommunication qui prennent très mal cette hausse des prix, le ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles technologies de l'information et de la communication a publié un communiqué de presse indiquant que la fixation de ces nouveaux tarifs "découle d'un consensus intervenu le 19 décembre 2014 entre les opérateurs de téléphonie mobile Vodacom, Airtel, Tigo, Orange, Africell et Yozma".
L'objectif de ce consensus étant, selon la même source, de mettre un terme à la «guerre des prix» en fixant des prix-plancher. Ces nouveaux tarifs ont été validés par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications dans sa décision 001/ARPTC/CLG/2015 du 02 février 2015.
Bien que cette augmentation des prix soit légère, de nombreux observateurs pensent que cela impactera sur les revenus de la population congolaise qui peine déjà à joindre les deux bouts.
Pour répondre aux utilisateurs des services de télécommunication qui prennent très mal cette hausse des prix, le ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles technologies de l'information et de la communication a publié un communiqué de presse indiquant que la fixation de ces nouveaux tarifs "découle d'un consensus intervenu le 19 décembre 2014 entre les opérateurs de téléphonie mobile Vodacom, Airtel, Tigo, Orange, Africell et Yozma".
L'objectif de ce consensus étant, selon la même source, de mettre un terme à la «guerre des prix» en fixant des prix-plancher. Ces nouveaux tarifs ont été validés par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications dans sa décision 001/ARPTC/CLG/2015 du 02 février 2015.
Bien que cette augmentation des prix soit légère, de nombreux observateurs pensent que cela impactera sur les revenus de la population congolaise qui peine déjà à joindre les deux bouts.
