Selon une étude d’Euler Hermes, certains pays africains ont choisi de s’appuyer sur les nouvelles technologies pour booster leurs économies. Et cela leur réussi plutôt bien.
Selon une étude publiée jeudi 27 octobre par Euler Hermes, le spécialiste dans l’assurance-crédit, la croissance africaine ne devrait pas, en moyenne, dépasser les 1,3 % en 2016. Une prévision proche de celle établie par le Fonds monétaire international, à 1,4 %, dans son rapport « Afrique subsaharienne, une croissance à plusieurs vitesses », publié le 16 octobre (hors Afrique du Nord).
Si le tableau est assez sombre dans son ensemble, certains pays africains se démarquent cependant avec des résultats encourageants. En excluant les exportateurs de matières premières non agricoles, la croissance africaine devrait en effet se maintenir à environ 4 % en 2016. Des pays comme la Côte d’Ivoire (+ 7,5 %), l’Ethiopie (+ 7 %) et le Kenya (+ 6 %) devraient tirer leur épingle du jeu.
Outre leurs bonnes récoltes agricoles, les gouvernements de ces pays ont décidé d’améliorer le climat des affaires et de miser davantage sur l’innovation. Bon nombre d’entre eux ont augmenté leurs dépenses en recherche et développement au cours des quinze dernières années. Au Kenya notamment, la part de ces investissements est passée de 0,3 % du produit intérieur brut (PIB) entre 2001 et 2007, à 0,9 % en 2015, et onze pôles technologiques ont été créés.
En Côte d’Ivoire la progression des nouvelles technologies d’information et de communication a un impact très positif sur l’économie. Le nombre d’abonnés dans le secteur des télécommunications augmente chaque année de 14 % en moyenne.
Source
Selon une étude publiée jeudi 27 octobre par Euler Hermes, le spécialiste dans l’assurance-crédit, la croissance africaine ne devrait pas, en moyenne, dépasser les 1,3 % en 2016. Une prévision proche de celle établie par le Fonds monétaire international, à 1,4 %, dans son rapport « Afrique subsaharienne, une croissance à plusieurs vitesses », publié le 16 octobre (hors Afrique du Nord).
Si le tableau est assez sombre dans son ensemble, certains pays africains se démarquent cependant avec des résultats encourageants. En excluant les exportateurs de matières premières non agricoles, la croissance africaine devrait en effet se maintenir à environ 4 % en 2016. Des pays comme la Côte d’Ivoire (+ 7,5 %), l’Ethiopie (+ 7 %) et le Kenya (+ 6 %) devraient tirer leur épingle du jeu.
Outre leurs bonnes récoltes agricoles, les gouvernements de ces pays ont décidé d’améliorer le climat des affaires et de miser davantage sur l’innovation. Bon nombre d’entre eux ont augmenté leurs dépenses en recherche et développement au cours des quinze dernières années. Au Kenya notamment, la part de ces investissements est passée de 0,3 % du produit intérieur brut (PIB) entre 2001 et 2007, à 0,9 % en 2015, et onze pôles technologiques ont été créés.
En Côte d’Ivoire la progression des nouvelles technologies d’information et de communication a un impact très positif sur l’économie. Le nombre d’abonnés dans le secteur des télécommunications augmente chaque année de 14 % en moyenne.
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